Fondation Merck : Plus de 2080 bourses à de jeunes médecins de 52 pays
La Fondation Merck joue sa partition en termes d’amélioration de l’accès à des solutions de santé équitables et de qualité et de renforcement des capacités en matière de soins dans de nombreux domaines médicaux.
A ce jour, l’organisation a accordé plus de 2080 bourses à de jeunes médecins de 52 pays dans 44 spécialités critiques et mal desservies,
L’annonce a été faite par la CEO de la Fondation Merck Dr. Rasha Kelej à l’occasion de la 11ème édition du « Merck Africa Asia Luminary » qui se tient du 29 au 30 octobre 2024 à Dar Es Salam dans la capitale tanzanienne.
Ces bourses offertes prennent en compte de nombreuses spécialités notamment en diabète, en endocrinologie, en oncologie, en cardiologie, en soins de fertilité, Embryologie, Médecine sexuelle et reproductive, Médecine interne, Médecine respiratoire, Médecine aiguë, Soins intensifs, Urgence pédiatrique, Gastroentérologie, Rhumatologie, Psychiatrie clinique, Urologie, Ophtalmologie, Chirurgie générale, Traumatologie et orthopédie, Dermatologie, Néonatalogie et plus.
« Plusieurs de nos anciens de la Fondation Merck deviennent les premiers spécialistes dans leur pays. Nous continuons à faire l’histoire ensemble en Afrique et au-delà », s’est réjouie Dr. Rasha Kelej.
« La Fondation Merck a lancé cette approche stratégique pour renforcer les capacités en matière de soins de santé en 2012, en partenariat avec les Premières dames d’Afrique et les ministères de la Santé et des Sociétés médicales. Cela a contribué de manière significative à la refonte du secteur public des soins de santé et à la transformation du paysage des soins aux patients dans 52 pays d’Afrique, d’Asie et au-delà », a-t-elle expliqué.
La Fondation Merck crée également un changement de culture et brise le silence sur un large éventail de problèmes sociaux et sanitaires en Afrique et dans les communautés mal desservies.
Elle est également très active dans la sensibilisation sur la prévention et le dépistage précoce du diabète et de l’hypertension, le soutien à l’éducation des filles, la production de supports pédagogiques et le renforcement des capacités des professionnels des médias sur les différents problèmes sociaux et sanitaires.
David Soklou
